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Selon un sondage de BMO, les dépenses sont une source de conflit pour un tiers des couples

8 février 2024 | Inclusion financière

Un rapport spécial de l’Indice de BMO sur l’amélioration des finances pour la Saint-Valentin révèle que si la majorité des couples canadiens sont compatibles au chapitre des discussions et des approches en matière de planification financière, les dépenses continuent d’être une source de désaccord.

Plus d’un tiers (35 pour cent) des Canadiens en couple croient que leur conjoint dépense trop d’argent et 32 pour cent affirment que les dépenses sont souvent une source de conflit dans leur relation. En outre, 36 pour cent admettent qu’ils ne disent pas toujours la vérité à leur conjoint au sujet de leurs finances.

Le sondage explore la façon dont les couples abordent la planification financière et communiquent leurs priorités :

  • Chéri(e), parlons d’argent :
    • Parmi les 51 pour cent de couples qui estiment que la question des finances devrait être abordée au début de la relation, 10 pour cent pensent que ces conversations devraient avoir lieu après les premiers rendez-vous et 41 pour cent estiment que ces conversations devraient avoir lieu lorsque la relation devient officielle. Près d’un tiers (31 pour cent) estime que les conversations sur les finances devraient avoir lieu lorsqu’un couple envisage de vivre ensemble.
    • 12 pour cent des couples pensent que ces conversations devraient avoir lieu au moment des fiançailles et/ou du mariage.

  • Transition financière de « moi » à « nous » :
    • Plus d’un tiers (35 pour cent) des couples pensent que les fiançailles sont le bon moment pour combiner leurs finances avec celles de leur conjoint, suivies par l’officialisation de la relation (22 pour cent) et l’emménagement ensemble (9 pour cent).
    • Près d’un Canadien en couple sur cinq (18 pour cent) ne partage pas ou n’intègre pas ses finances avec celles de son conjoint.

  • Évaluation des dépenses :
    • Près de la moitié (48 pour cent) des Canadiens en couple admettent dépenser plus d’argent qu’ils ne le devraient et 59 pour cent affirment que leur conjoint est la personne la plus économe de la relation.

  • Quizz sur la compatibilité :
    • 82 pour cent des couples estiment qu’ils sont compatibles parce qu’ils ont des objectifs financiers similaires et la même proportion d’entre eux ont combiné et/ou intégré leurs finances à celles de leur conjoint.
    • Plus des deux tiers des couples partagent la responsabilité d’entamer des discussions sur les finances du ménage (68 pour cent) et de fixer des objectifs pour leur famille (67 pour cent).
    • 24 pour cent admettent que les différences de revenus ont créé des tensions dans leurs relations.

  • Obstacles financiers à la relation :
    • Lorsqu’ils évaluent les finances de leur conjoint, les Canadiens en couple disent qu’ils s’inquiètent surtout de sa dette hypothécaire (47 pour cent), de sa dette de carte de crédit (38 pour cent), de sa cote de crédit (33 pour cent) et de leurs différences de revenus (26 pour cent).


« De nombreux couples continuent de sous-estimer les implications émotionnelles liées à l’argent, ce qui peut entraîner une mauvaise communication, des déceptions et des conflits. La compatibilité de la relation devrait également inclure la compréhension des objectifs financiers de votre conjoint, de ses habitudes de dépenses, de ses dettes existantes et de ses obligations financières. Le fait de travailler avec un conseiller financier peut aider les couples à combler le fossé de la communication et à élaborer un plan qui soutient leurs objectifs financiers uniques afin de les aider à améliorer leurs finances ensemble. »


– Gayle Ramsay
Chef, Services bancaires courants, segments, accroissement de la clientèle, BMO

Compatibilité des relations financières à tout âge 

L’Indice de BMO sur l’amélioration des finances a également révélé que si les couples de la génération Z et du millénaire sont plus susceptibles de partager les responsabilités financières de manière égale, il existe des possibilités d’améliorer la fidélité financière.

Les couples de la génération Z (âgés de 18 à 24 ans) sont parmi les plus susceptibles de partager équitablement la responsabilité d’entamer des conversations sur les finances du ménage (72 pour cent) et d’établir un budget pour le ménage (68 pour cent). Cependant, plus de la moitié (52 pour cent) déclarent que leur conjoint dépense trop d’argent et 42 pour cent admettent qu’il leur arrive de mentir à propos de leurs finances – plus que toute autre génération. De même, près d’un tiers (32 pour cent) des jeunes couples milléniaux (âgés de 25 à 34 ans) disent qu’il leur arrive de mentir à propos de leurs finances et 48 pour cent pensent que leur conjoint dépense trop d’argent.

Lorsqu’ils évaluent les finances de leur conjoint, les membres de la génération Z se disent surtout préoccupés par sa dette de carte de crédit (48 pour cent), sa cote de crédit (47 pour cent) et sa dette hypothécaire (43 pour cent). Les jeunes milléniaux sont les plus préoccupés par la dette de carte de crédit (46 pour cent) et la dette hypothécaire (46 pour cent) de leur conjoint, suivis par sa cote de crédit (43 pour cent).

Pour en savoir plus sur la façon dont BMO donne aux clients les moyens d’améliorer leurs finances, consultez le site www.bmo.com/principal/particuliers.

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