Sauter la navigation

BMO célèbre les femmes entrepreneures qui éliminent les obstacles

« Vivez votre passion. Faites ce que vous aimez, sans vous soucier de ce que les gens disent, et les morceaux du casse-tête se mettront en place. »

C’est le conseil que Jasmine Daya, avocate et directrice générale de Jasmine Daya & Co., donne aux jeunes filles. Elle s’est lancée dans l’entrepreneuriat après avoir gravi les échelons au sein de son ancien cabinet jusqu’à en devenir associée directrice. Lorsque son supérieur a pris sa retraite, elle a songé à se joindre à un autre cabinet, mais aucun ne semblait lui convenir. « J’ai décidé que la seule véritable possibilité pour moi, c’était de fonder mon propre cabinet, explique Jasmine. Une fois ma décision prise, je suis partie sur les chapeaux de roue… et je n’ai jamais eu de regrets. »

Même si Jasmine croyait en sa vision et en ses capacités, elle a fait face à plusieurs obstacles sur son chemin, notamment pour trouver une banque qui la traiterait avec respect. « Il y a évidemment eu des moments dans ma carrière où j’ai eu l’impression d’être traitée différemment parce que j’étais une femme. Lorsque je cherchais du financement pour mon premier achat commercial, un groupe d’employés de ma banque est venu me rencontrer à mon bureau. L’un d’eux m’a demandé comment je comptais gérer cet achat, compte tenu de toutes les autres choses sur lesquelles je travaillais. Auraient-ils posé cette question à un homme, ou l’auraient-ils plutôt félicité pour ses réalisations et son objectif d’acquérir un immeuble de placement de qualité? », dit Jasmine.

Jasmine a alors compris qu’elle avait besoin d’une nouvelle banque. « Les comptes de mon cabinet étaient détenus à une banque traditionnelle qui ne se donnait pas la peine de me comprendre, de comprendre mon entreprise ou de comprendre mes objectifs. Elle me donnait l’impression que je n’étais pas une cliente importante, que je ne leur convenais pas et que je présentais des risques pour elle. Elle a toujours tenté de freiner ma capacité de croissance, explique Jasmine. Dès le moment où j’ai parlé à quelqu’un de BMO, j’ai senti qu’il m’appuierait totalement. J’ai vraiment l’impression que c’est une fierté pour BMO de me compter parmi ses clients. »

Jasmine fait remarquer que la relation bancaire est particulièrement importante pour n’importe quel propriétaire d’entreprise et que les entrepreneurs ne doivent pas hésiter à demander de l’aide au sujet des stratégies ou du financement. « Si vous ne pouvez pas parler à votre banque, cela peut vous causer du stress et de l’anxiété inutiles, explique Jasmine. Passer à BMO m’a permis de canaliser tous mes efforts vers ce sur quoi je devais me concentrer : mon entreprise. »

Cette attention a mené à de grandes choses pour les activités de Jasmine. Son cabinet se spécialise dans les dommages corporels, un domaine du droit extrêmement concurrentiel. Jasmine savait que pour réussir, il fallait que sa vision, sa marque et son modèle d’affaires soient non traditionnels. Elle a heureusement pu compter sur son expérience du droit, ses études en économie, en finance et en droit, ainsi que son travail dans les restaurants de ses parents durant sa jeunesse.

Aujourd’hui, son cabinet est florissant. Jasmine fait également sa part pour la collectivité puisqu’elle fait du bénévolat et donne des conférences. De plus, elle est mentore et offre des stages pour des étudiants inscrits à des programmes coopératifs au secondaire, au collège et à l’université. Jasmine est ravie de travailler avec les jeunes pour les aider à lutter contre les obstacles auxquels ils font face, en particulier parce qu’elle a elle-même dû en surmonter.

Ces obstacles n’ont fait qu’inciter Jasmine à faire passer sa carrière à la vitesse supérieure et à poursuivre des objectifs en dehors du travail – bloguer, publier des livres et faire des balados, entre autres. « Au cours des dernières années, je me suis encore heurtée à des problèmes contre lesquels un homme n’aurait pas eu à lutter, non pas en tant qu’avocate, mais en tant qu’entrepreneure. Ces expériences négatives m’incitent à faire plus et à faire mieux, explique Jasmine. Et il n’y a pas de plus grande satisfaction en affaires! »

Jasmine continue à faire croître son cabinet et envisage l’avenir avec optimisme. « Tout ce que je fais, c’est par passion, par volonté. Cela prend énormément de temps et d’efforts. Mais après, je ressens un sentiment intense de réussite et de fierté. »

**

Pour souligner la Journée internationale des femmes, BMO rend notamment hommage aux femmes entrepreneures. Dans le cadre d’une nouvelle série de contenu, nous racontons l’histoire de propriétaires d’entreprise qui ont fait face à toutes sortes d’obstacles et les expériences inspirantes que ces gens ont vécues en les surmontant. La série sera diffusée sur les médias sociaux partout au Canada et aux États-Unis.

En plus de Jasmine Daya, la série met en vedette Daphne Jones, propriétaire de Glorious Malone’s Fine Sausage, une petite entreprise familiale établie à Milwaukee, profondément enracinée dans la collectivité et dont le produit primé est célèbre dans la région.

Apprenez-en plus sur l’engagement de BMO en ce qui concerne la diversité et l’inclusion et lisez d’autres histoires à propos de nos clients et de nos programmes.

 

 

 

 

Matières connexes